D
deomlez
Not english native speaker. Ctb is my life.
- May 19, 2023
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Can you translate?It sounds so horrible what you've been through, it's such a cruel existence, I hope that you eventually find the freedom you search for.
Hmm tu veux la traduction en français ? Copie collle dans deepl... mais sinon il me dit que ce que je traverse semble horrible, qur la vie est cruelle et il me souhaite de trouver la liberté que je recherche.Can you translate?
je suis désolé que tu te sentes comme çaHmm tu veux la traduction en français ? Copie collle dans deepl... mais sinon il me dit que ce que je traverse semble horrible, qur la vie est cruelle et il me souhaite de trouver la liberté que je recherche.
Mais c est bizarre que tu me demandes ca vu que tu sembles Ă l aise en anglais...
c'est bien que tu aies eu le courage de le sortir. câlinsJe veux écrire en français car j'ai besoin d'extérioriser une partie de ce qui m'habite, parce que le sortir est une part du problème.
Je me rends compte, à l'occasion de l'écoute d'un témoignage d'une personne qui a vécu 10 ans avec une belle-mère abusive (pour ceux qui le souhaitent, Transfert, S7 Ep 256), que peut-être ce que j'ai vécu était d'une grande violence pour une enfant ; et que donc je suis légitime à l'exprimer ainsi, et que j'ai droit d'exprimer mes émotions de façon légitime. Au lieu de cacher, de montrer ma force, de ne montrer que la partie positive de moi (mon intelligence, mon habileté dans les relations sociales (quelle blague...), bref ce que les gens veulent voir...
Je hais la notion de famille (et j'ai 3 enfants...), je hais la violence que ça peut générer, je hais ce que j'ai vécu, je hais ma propre personne. La seule issue est vraiment ctb parce que même si je faisais la paix avec ça ne le ferait pas disparaître. Mon choix de ctb est la seule et unique chose qui est profondément moi, de tout mon être, et c'est la seule chose que je peux faire en accord avec moi-même, pour une fois sans tenir compte des autres (qui que ce soit, même mon mari, même mes enfants), pour une fois, être moi-même et faire ce que je veux moi. La seule personne que je veux épargner, parce qu'elle n'est pas assez forte pour supporter ça, c'est ma mère. C'est mon unique condition pour sauter sur le marchepied...
Je suis, au moment où j'écris, comme si j'avais arraché ma peau et que je me tenais là , à vif et dans une souffrance absolue.
Je n'attends rien, je veux juste l'inscrire et le cracher, parce que c'est aussi une façon d'avoir une parole légitime.
So i am currently nowhere, in an anonymous hotel, in a sad suburb near the border... in phase with my sad mood. Waiting for the time to eat and go sleep, crying because i am just in front of my real me and i hate what i see.On trip again, for 4 days. Going in a nowhereland near a border (wiith a gateway, crossing 2 countries, 3 for back) (digression : going to a SN opportunity country but not able to bring it back by plane... and no time or car to buy it and send it to a mail box). Exactly what I need to stay alone with myself... having my brain, my diary so nothing missing.
i have a bad nighmare about suicide last week, so disturbing that I can stand to look back at it. Even not sure to talk about it to my psy.
SI has a f*** way to kick in.